On le surnomme volontiers, « la Montagne ». Et pourtant les plus hauts sommets n’y dépassent pas 1400 m d’altitude. Il y l’Aubrac bien sûr qui hésite entre la Sibérie en hiver et les highlands en été. Il y a aussi la Viadène sur les contreforts de l’Aubrac, et le Carladez qui s’enfonce comme un coin dans le Cantal. Mais partout ici, la tradition est tenace. On est montagnol de père en fils. Et on le reste, même à Paris.

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